Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

mardi 21 août 2007

Si vous en parliez ?

Si vous partagez notre envie de raconter l'Histoire,
Si vous soutenez l'initiative de jeunes artistes,
Si vous aimez le théâtre différent,
Si vous rêvez d'un monde meilleur,
Si vous pensez qu'il ne faut pas oublier,
Si vous détestez l'injustice,
Si vous chérissez la liberté,

Alors parlez en autour de vous
Venez nombreux, déplacez vous,
Car le public est au spectacle
Ce que le souffle est à la vie.

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