Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

lundi 21 janvier 2008

Nos experts de "l'Affaire" commentent la pièce

Les quatre débats du Guichet organisés au théâtre les dimanches de septembre et octobre avaient, vous vous en souvenez peut-être, connu un grand succès (voir articles précédents). Voici donc, en 7 petites minutes, l'avis de nos éminents spécialistes sur la pièce.
Retrouvez ainsi les commentaires de Me Bredin et de la propre petite-fille du Capitaine ainsi que ceux des professeurs Winock, Charle, Drouin, Duclert, Dreyfus, Oriol & Manceron. Propos introduits par le grand journaliste Ivan Levaï...

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