Après plusieurs mois d'approche, les services de l'Education Nationale nous apportent enfin clairement leur soutien.
Les 900 enseignants d'histoire et géographie de l'Académie de Paris seront en effet informés dès la rentrée scolaire de notre projet théâtral par le Rectorat.
Ils seront en même temps conviés à un débat autour de la pièce. Ce débat se tiendra le mercredi 26 septembre dans le quartier latin, au lycée Henri IV. Il sera animé par l'équipe de la pièce (producteur, acteurs, metteur en scène et même auteur), Mme Yaël Perl Ruiz, arrière petite-fille du capitaine Dreyfus, M. le professeur Michel Drouin et très probablement, M. le professeur Michel Winock.
Parallèlement, la direction des affaires culturelles du Ministère de l'Education Nationale et de la Recherche (DAAC) a déjà diffusé les informations sur la pièce sur son site (http://www.ac-paris.fr/IMG/pdf/rentree20072degre.pdf).
Bonne nouvelle pour nous mais aussi pour les lycéens, auxquels "l'Affaire" semble trop souvent un sujet bien lointain et abstrait!
Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.
En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.
De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.
Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.
Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.
D.A, mai 2007.
De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.
Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.
Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.
D.A, mai 2007.
samedi 7 juillet 2007
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