Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

vendredi 25 avril 2008

ISRAEL attend Dreyfus

Première information au sujet de nos deux représentations de juin à Jérusalem dans le HAARETZ d'hier (le quotidien israélien le plus important) avec, en prime, une photo souriante de notre Lucie D! Très prochainement sur ce blog l'article très complet de l'autre grand journal national, le MAARIV, article actuellement en préparation après une longue interview téléphonique en début de semaine avec leur journaliste en direct de Tel-Aviv.
En dépit du silence assourdissant -et définitif- de l'Ambassade de France sur place, voici donc enfin notre pièce officiellement annoncée en images sur le site (en anglais) du Festival. Après quelques hésitations, la pièce sera finalement surtitrée en hébreu à l'attention du public non francophone de la capitale israélienne.

Ajout du 22 mai 2008: et voici un article dans le JERUSALEM POST (en anglais)

jeudi 17 avril 2008

LICRA: représentation parisienne




Et voici quelques images du débat avec près de 200 collégiens et lycéens parisiens, réunis au centre Bruxelles-Wallonie (Paris IV) à l'invitation de la LICRA, débat qui suivit la représentation du 10 mars 2008. La discussion portait évidemment sur l'Affaire mais aussi sur l'écho qu'avait provoqué la pièce elle-même sur ces adolescents et leur appréhension de l'homme Dreyfus. Elle fut animée par les deux comédiens -en costumes et assis sur le décor de scène!-, Mme Garaud, enseignante d'histoire et Martine Bernheim, vice-présidente de la fédération de Paris de la Ligue et organisatrice de la Semaine contre le racisme. Et ce, en présence d'un éminent représentant du rectorat de l'Académie de Paris (partenaire de la pièce depuis 2007). Un bien joli moment!