Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

mardi 4 mars 2008

L'aventure se poursuivra au-delà de l'été...

Après un premier semestre 2008 en fanfare (Grand Orient de France en janvier, LICRA en mars et les festivals à Jérusalem et Avignon en juin/ juillet), notre Dreyfus se transportera au magnifique Centre des congrès de Lyon (arch. Renzo Piano), posé telle une soucoupe volante sur les eaux du Rhône en bordure du fameux parc de la "Tête d'or".

Nous y serons donc le 5 septembre 2008 à 20h30... devant un millier de spectateurs cette fois! Un défi artistique de plus que de parvenir à garder l'esprit intimiste et oppressant de ce texte originellement monté sur une petite scène, avec cette fois un plateau de 300m2, un écran géant et des acteurs équipés de "micros cravate"...

Nous sommes vraiment heureux pour ce cher capitaine!